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Qui suis-je ?
J’ai quitté le Cameroun, il y a 32 ans. C'est un pays qu’on appelle aussi l’Afrique en miniature car, on y trouve toutes les configurations géographiques de plusieurs pays d’Afrique. Cette multiplicité est aussi valable dans les productions agricoles, florale et faunale. Sans oublier les nombreux fleuves et rivières de la façade atlantique…
mon pays.Plus de 300 ethnies et autant de langues, coutumes, traditions culturelles et culinaires constituent mon pays.
Tout ceci donne au Cameroun, une telle richesse culturelle, patrimoniale, ce qui se traduit dans ses cuisines. Le Cameroun est aussi surnommé : l’Afrique en Miniature
J’ai grandi dans un quartier populaire où plusieurs tribus cohabitaient harmonieusement mais, chacune exprimait ses différences culinaires et culturelles.
J’avais des amis de différentes ethnies et j’étais déjà très curieuse d’aller découvrir leurs cuisines. J’étais déjà très gourmande et très curieuse.
Une fois en France, ma curiosité gourmande est devenue tout simplement internationale…
C’est par hasard que je me suis retrouvée gérante d’un restaurant camerounais, je me suis aperçu que j’aimais cela et que pas mal de soucis, malentendus, préjugés, etc, pouvaient se résoudre, si on partageait ensemble un repas.
Par la suite, j’ai eu une épicerie africaine à Poitiers, créée en 1992 : « Tropicana » Je l’ai transformé en épicerie fine exotique, en ouvrant ma curiosité sur les épices mondiales. J’ai étudié les épices, leurs provenances et la manière de les utiliser.
En 1996, je fus l’une des pionnières dans la cuisine à domicile.
En 1999, «La Papay’verte» est devenue mon premier restaurant exotique à Rennes : spécialités africaines et antillaises. Puis, pour des raisons familiales, j’ai du abandonner cette activité, pour entreprendre les études d’assistante sociale…
Mais, j’ai néanmoins continué mes activités culinaires, dans le cadre de mon association : APACCA (Association pour la Promotion de l'Art Culinaire et Culturel Africain)
J’ai travaillé auprès des associations œuvrant pour l’Afrique ou non, auprès des associations de parents d’élèves des écoles, des lycées, sur des projets pédagogiques, humanitaire et de découverte culturelle sur la cuisine africaine, auprès des étudiants, comme ceux de l’INSA de Rennes, constitués en association pour des projets humanitaires
J’ai également travaillé auprès d’autres associations, de comités d’entreprise comme celui d’EDF, organisé des apéritifs ou buffet dinatoires, auprès des médias, et même des restaurants traditionnels, qui voulaient offrir à leurs clients, une petite « parenthèse exotique » Je proposais également des cours de cuisine exotique, par petit groupe de 12 personnes maximum
Ces expériences m’ont permis de traiter des commandes de 4 à 500 personnes J’étais devenue ainsi la référence en Ille et Vilaine, comme « traiteur africain »
Puis, je suis venue en Alsace en 2007 et je me suis consacrée à mon activité d’assistante sociale.
D’accord, vous vous dites que jusque là, il y avait une certaine cohérence sur le plan culinaire mais, Assistante sociale ( ?)…. Je pense que si je vous disais que ma formation initiale, c’est la comptabilité, gestion d’entreprise, vous allez me dire : « ma fille, il serait temps que tu trouves ta voie… »
Bon, je suis spécialiste de grands écarts, puisque je reviens cette fois-ci encore, à mes premiers amours. Cette fois, j’aimerais partager mes amours culinaires avec les alsaciens… Alors, j’espère que vous aller accepter de voyager avec moi, à travers votre assiette…
mon pays.Plus de 300 ethnies et autant de langues, coutumes, traditions culturelles et culinaires constituent mon pays.
Tout ceci donne au Cameroun, une telle richesse culturelle, patrimoniale, ce qui se traduit dans ses cuisines. Le Cameroun est aussi surnommé : l’Afrique en Miniature
J’ai grandi dans un quartier populaire où plusieurs tribus cohabitaient harmonieusement mais, chacune exprimait ses différences culinaires et culturelles.
J’avais des amis de différentes ethnies et j’étais déjà très curieuse d’aller découvrir leurs cuisines. J’étais déjà très gourmande et très curieuse.
Une fois en France, ma curiosité gourmande est devenue tout simplement internationale…
C’est par hasard que je me suis retrouvée gérante d’un restaurant camerounais, je me suis aperçu que j’aimais cela et que pas mal de soucis, malentendus, préjugés, etc, pouvaient se résoudre, si on partageait ensemble un repas.
Par la suite, j’ai eu une épicerie africaine à Poitiers, créée en 1992 : « Tropicana » Je l’ai transformé en épicerie fine exotique, en ouvrant ma curiosité sur les épices mondiales. J’ai étudié les épices, leurs provenances et la manière de les utiliser.
En 1996, je fus l’une des pionnières dans la cuisine à domicile.
En 1999, «La Papay’verte» est devenue mon premier restaurant exotique à Rennes : spécialités africaines et antillaises. Puis, pour des raisons familiales, j’ai du abandonner cette activité, pour entreprendre les études d’assistante sociale…
Mais, j’ai néanmoins continué mes activités culinaires, dans le cadre de mon association : APACCA (Association pour la Promotion de l'Art Culinaire et Culturel Africain)
J’ai travaillé auprès des associations œuvrant pour l’Afrique ou non, auprès des associations de parents d’élèves des écoles, des lycées, sur des projets pédagogiques, humanitaire et de découverte culturelle sur la cuisine africaine, auprès des étudiants, comme ceux de l’INSA de Rennes, constitués en association pour des projets humanitaires
J’ai également travaillé auprès d’autres associations, de comités d’entreprise comme celui d’EDF, organisé des apéritifs ou buffet dinatoires, auprès des médias, et même des restaurants traditionnels, qui voulaient offrir à leurs clients, une petite « parenthèse exotique » Je proposais également des cours de cuisine exotique, par petit groupe de 12 personnes maximum
Ces expériences m’ont permis de traiter des commandes de 4 à 500 personnes J’étais devenue ainsi la référence en Ille et Vilaine, comme « traiteur africain »
Puis, je suis venue en Alsace en 2007 et je me suis consacrée à mon activité d’assistante sociale.
D’accord, vous vous dites que jusque là, il y avait une certaine cohérence sur le plan culinaire mais, Assistante sociale ( ?)…. Je pense que si je vous disais que ma formation initiale, c’est la comptabilité, gestion d’entreprise, vous allez me dire : « ma fille, il serait temps que tu trouves ta voie… »
Bon, je suis spécialiste de grands écarts, puisque je reviens cette fois-ci encore, à mes premiers amours. Cette fois, j’aimerais partager mes amours culinaires avec les alsaciens… Alors, j’espère que vous aller accepter de voyager avec moi, à travers votre assiette…